On Trust and Good Government: Swedish Trust in Policymakers and Fellow Citizens ; La confiance et le bon gouvernement: La confiance suédoise envers les législateurs.rices et leurs concitoyen.ne.s
Increasingly, the field of political science assesses the dynamic of trust through the lens of national governance. This research paper assesses the degree to which social trust – both vertical (trust held in governing institutions) and horizontal (between citizens) – impacts governance. Using Sweden as a case study, it compares Swedish and American propensities to trust alongside the differences between the political structures of each state. In particular, it considers the differences in approaches to welfare distribution. This paper finds that vertical trust has a slightly greater impact on horizontal trust than vice versa. Nevertheless, it finds that the two are closely interdependent and that consequently, large increases (or decreases) in one of these directions of trust results in similar changes to the other. To that end, their relationship can be described as existing within upward or downward feedback loops. The findings of this research therefore imply that national governments interested in increasing social trust in either a vertical (toward themselves) or horizontal (among their citizens) direction would do well to not view these variations of trust as existing in silos. Efforts to increase either will have a positive impact on both, and relevant policy focusing on increasing trust should reflect as much. ; Dans le domaine de la science politique, il est de plus en plus fréquent que les chercheur.euse.s évaluent la dynamique de la confiance sous l'angle de la gouvernance nationale. Cette analyse évalue le degré de l'impact de la confiance sociale sur la gouvernance, sous sa forme verticale (envers les institutions gouvernementales) et sa forme horizontale (entre citoyen.ne.s). La Suède sert d'étude de cas. Je compare les propensions suédoises et américaines à faire confiance et j'examinerai aussi les différentes structures politiques de ces deux États. En particulier, ce projet considère les différences dans chacune de leurs approches envers la distribution de l'aide sociale en particulier. Cette analyse conclut que la confiance verticale a un impact légèrement plus grand sur la confiance horizontale que vice versa. Néanmoins, les deux sont intimement interdépendants. Par conséquent, une augmentation (ou une réduction) significative de la confiance dans un sens ou dans l'autre mène à des changements similaires dans son double. En somme, la relation entre ces deux facteurs peut être caractérisée comme existant dans une boucle de rétroaction, soit à la hausse ou à la baisse. Les conclusions de cette recherche sous-entendent que les gouvernements nationaux qui veulent augmenter le niveau de confiance sociale, soit verticale (envers le gouvernement) soit horizontale (envers les citoyen.ne.s), ne devraient pas considérer les deux formes de confiance comme existant en vase clos. Les efforts visant une augmentation de l'un ou de l'autre auront des impacts positifs sur les deux; les politiques pertinentes qui cherchent à augmenter la confiance devraient faire preuve de cela.